L'entraîneur du Portel a subi,  à Lille, une opération liée à la rechute du cancer des cordes vocales dont il souffre depuis plus d'un an. Vendredi soir, contre Pau (67-76), Éric Girard (notre photo) a dirigé son dernier match avant de partir livrer un combat autrement plus rude contre la maladie.
« Égoïstement, pour mon dernier match momentané, j'aurais bien aimé gagner pour l'équipe, les dirigeants... », a glissé le technicien nordiste en conférence de presse. Jusqu'au bout, l'entraîneur du Portel (6e de Pro B), qui se bat contre un cancer, est resté un homme debout. « Le contexte était très particulier, explique le manager général, Pascal Jullien. C'était le match du carnaval, délocalisé à Calais, avec 3 400 supporters derrière nous, là où habituellement la salle de Boulogne ne permet pas de recevoir plus de 1 700 personnes. Éric, malgré ses souffrances, voulait absolument emmener le club et l'équipe jusque-là. »
Dans les heures précédant cette rencontre, l'ancien coach de Cholet (1996-2001), Le Havre (2001 -2004), Strasbourg (2004-2008) et Limoges (2009-2011, Pro B puis Pro A) avait posté un message d'une grande intensité sur sa page Face-book : « II y a plus d'un an, à Limoges, j'ai dû faire face à un cancer des cordes vocales, (...) Malheureusement, la rechute est déjà là et plus grave qu'imaginé. (...) Une opération irréversible est prévue le 13 février (demain) à Lille, où je vais devoir être hospitalisé une douzaine de jours... » Dans le même message, il ne cachait rien des « douleurs qui s'amplifient chaque jour », de la « perte de voix quasi totale ».
« Éric espère nous retrouver avant la fin de saison pour jouer les play-offs. Après l'opération, sa voix ne sera pas plus faible qu'aujourd'hui », assure Pierre Leprêtre, l'ancien président du Portel et désormais médecin généraliste de Girard, qu'il avait engagé en mars 2012. Élu entraîneur de l'année en 2005, dans la foulée de son titre de champion de France avec la SIG, Girard sera relayé par son assistant, dès ce soir à Bourg-en-Bresse.
« // a tout préparé, tout analysé, tout classé pour que Frédéric Munch assure le relais, souligne Jullien. Éric est un perfectionniste. Maintenant, il mérite qu'on le laisse tranquille et qu'on lui laisse le temps de revenir à nos côtés. »

Hervé LEROY  (L'Equipe)

NB: Eric Girard a été joueur au Salon Ball Club saison 1988-89 sous la direction de Jurkiewicz et en 1989-90 avec Jacky Lamothe, ces deux saisons en Championnat de France 1B
Le SAPELA souhaite un prompt rétablissement à Eric Girard et lui donne rendez-vous le plus vite possible sur les parquets.

Ne tournons pas autour du pot. le Sapela a commencé de la pire des façons la 2ème phase du championnat de Pré-nationale face à un concurrent direct pour la 1 ère place et l'accession en Nationale 3.
Battus par l'US Tramways de Marseille (83-90) samedi, les Sapelistes n'en ont pas fait assez pour contrarier un adversaire très déterminé. Menés de 6 points à la mi-temps après un premier quart-temps «portes ouvertes» (30 points encaissés), les hommes de Christophe Démaret ont même compté jusqu'à 15 points de retard dans le dernier quart-temps.
«Notre adversaire en voulait plus et mérite sa victoire, constate Christophe. Nos défaillances défensives ont été importantes, 90 points, c'est trop. Leur meilleur joueur nous a mis 7 paniers à trois points. De manière générale, on n'a pas défendu sur leurs extérieurs. C'est une grosse déception.»

Pas le droit à l'erreur samedi contre Entraigues
Seul point positif, le retour salonais pour limiter la défaite. Car le point-average pourrait avoir son importance en fin de saison. Mais aujourd'hui, les Marseillais ont un point d'avance sur le Sapela et Entraigues.
Entraigues qui sera reçu samedi, 20h, à Saint-Côme. Inutile de dire qu'une victoire est obligatoire pour ne pas plomber les ambitions. Une pression à gérer sans Jean-Bernard Blein, suspendu.
«Il va falloir évacuer cette pression, être serein, jouer notre jeu et retrouver de l'agressivité défensive. On a perdu une bataille mais pas la guerre.»

Alexandre VALERA (Le Régional)
Pour lire le journal du match, cliquez sur la photo.

Une seule défaite en 14 matches, c'est l'excellent bilan du Sapela à l'issue de la première phase. Le Sapela termine donc logiquement en tête de la poule A devant Arles, Aubagne et Fos les trois autres qualifiés en poule haute de la deuxième phase. Dans la poule B, c'est Entraigues qui termine premier mais avec trois défaites devant les Tramways Marseille à égalité, Rousset et Tarascon. Ces huit équipes se retrouvent à partir de ce week-end pour former la poule haute qui mènera le premier du classement en nationale 3. Mais bizarrement, le Sapela apparaît en troisième position du classement provisoire avant le début des matches ! Un savant calcul qui a quoi interloqué même s'il n'est pas vraiment important. Autre point surprenant alors que les années précédentes, les deux meilleures équipes de chaque poule se rencontraient en fin de saison pour une sorte de finale, cette année, les deux premières équipes de chaque poule vont se rencontrer en tout début de deuxième phase. Ainsi, le Sapela démarre, de¬main, avec un déplacement aux Tramways de Marseille avant de recevoir Entraigues le week-end  suivant.

Tramways Marseille et Entraigues d'entrée pour être fixé rapidement.
Une nouveauté qui surprend quelque peu l'entraîneur du Sapela Christophe Demaret. J 'ai demandé des explications au président de la Ligue mais je n'en ai pas encore vraiment eu. Nous nous étions préparés pour rencontrer ces équipes enfin de saison cela nous laissait encore une certaine marge pour être prêt. Alors il va falloir être au top tout suite. Notre chance est que nous n 'avons pas de blessés en ce ment mais notre malchance est que Jean-Bernard Blein purge un match de suspension pour le match à domicile contre Entraigues. " L'emblématique intérieur du ;la a pris trois fautes techni-; depuis le début de saison st donc sanctionné d'un :h. "Il en a pris une seule en que joueur et deux en tant qu'entraîneur des cadets, catégorie toujours difficile à gérer et comme c'est un week-end de suspension, j'avais espéré que ce serait un week-end où nous ne jouions pas avec les seniors mais non, ça ne va pas tomber comme cela ! Il faudra faire avec et les autres devront montrer de quoi ils sont capables sans JB, " affirme le coach du Sapela quelque peu désabusé. Le seul avantage de cette situation est que le Sapela sera rapidement fixé sur son sort.
Si tout se passe pour le mieux et le Sapela sera quasi assuré déjouer en nationale 3, dès le mois de mars. Pour cela, il va falloir passer sans encombre les deux matches contre Tramways et Entraigues. Et en cas de mauvaise surprise, le Sapela pourra également compter sur ces anciens adversaires de poule. La poule A avec Arles, Aubagne et la réserve fosséenne semble plus forte que la poule B et donc en mesure de battre toutes les équipes. "Nous verrons bien, nous comptons avant tout sur nous-même. Le groupe se porte bien, j'ai treize joueurs à ma disposition, Didier Emmanuel revient bien. Mais nous savons que rien ne sera facile, le déplacement à Marseille, dans une petite salle s'annonce chaud. Les Marseillais nous ont battus en phase de préparation d'un seul point, ils nous attendent donc de pied ferme, tout le monde en est conscient, " conclut le coach sapeliste. Après une première phase quasi parfaite où le Sapela a très largement dominé son sujet, le retour en nationale 3 semble tendre les bras au club de Saint-Côme.   Le Sapela débute samedi la 2ème phase du championnat Pré-nationale par un déplacement à l'US Tramways de Marseille.
Soit par un choc au sommet entre les deux premiers de chaque groupe de 1 ère phase. Un calendrier qui a étonné au Sapela. «D'habitude, les premiers affrontent les 4èmes de l'autre poule pour débuter alors que les gros chocs arrivent ensuite, explique le coach Christophe Démaret. Je ne comprends pas trop. Surtout qu'au 2ème match, le 16 février, on reçoit Entraigues, 2ème de 1ère phase, sans Jean-Bernard Blein, suspendu. Ce n'est pas l'idéal.» Mais ces débuts ardus peuvent aussi vite devenir des atouts. «Dès samedi, on saura un peu mieux où on en est. Si on perd, rien ne sera fait. Si on gagne, on se retrouve en position de force au moment de recevoir Entraigues.»

«Ils ne lâcheront rien chez eux»
En clair, le Sapela pourrait tout aussi bien assommer le championnat d'entrée. Mais pour cela, il faudra retrouver le rythme après 3 semaines sans match à enjeu (malgré un match amical livré vendredi dernier à Avignon-Lé Pontet). Car le déplacement à l'USTM samedi s'annonce rude dans tous les sens du terme. «C'est une équipe qui pratique un basket très agressif avec des joueurs qui viennent du basket 3x3. On sait qu'il y a 4-5 joueurs très intéressants. Ils ne lâcheront rien chez eux et peuvent s'enflammer très vite. A nous d'être prêts mentalement et physiquement. C'est un match traquenard, qui plus est sur un terrain pourri.» Le Sapela a néanmoins montré en 1 ère phase qu'il savait voyager en remportant toutes ses rencontres à l'extérieur. «On a l'avantage d'avoir un banc fourni et de bonnes rotations.» Voilà le décor planté, agrémenté d'un rappel. Lors de la préparation estivale, les deux équipes s'étaient affrontés au tournoi de Calas et l'USTM s'était imposée de 2 points.
Alexandre VALERA (Le Régional)

• En Pré-nationale féminine, le Sapela reçoit dimanche, 15h le Smuc à Saint-Côme. Les benjamines du SAPELA seront présentées pour l'occasion.
Voir le Journal du match SAPELA / SMUC

"Quel objectif au travers de cette rubrique ? Permettre à chacun un survol rapide, évitant de râler pour rien et je l'espère à chacun de mieux connaître notre magnifique sport et ainsi à chacun de s'améliorer. Comment ? Pas tout en une seule fois, ce qui serait très indigeste, mais périodiquement, par thèmes. Le premier thème aborde l'évolution des règles applicables dès maintenant. Soyez avisés, connaisseurs, avertis et participez aux progrès du Basket. 

L'arbitre, acteur à part entière de la formation du joueur
Toute pédagogie requiert de la graduation, de la progression dans l'apprentissage, et de la cohérence. Comment pouvons-nous feindre de l'ignorer au basket, entre ce qui se passe dans la semaine aux entraînements, et le samedi en compétition. Il n'y a qu'un « Code de Jeu », une règle unique applicable à tous ; et pourtant !!! Selon la tranche d'âge et le niveau de pratique, les axes de travail et les objectifs sont différents. Il est inconcevable dans un sport aussi technique de faire respecter tout dès le départ ; oui mais alors quoi et quand : quelles tolérances. Là est tout le problème. 

Ne pas inonder de décisions hors sujet pédagogique, un travail ciblé
La trilogie « joueur entraîneur arbitre », pour être constructive, doit être cohérente. On peut aussi se poser des questions sur la rigueur de certaines appréciations, sur certains points (limites de l'aire de jeu, contraintes liées au temps, aspects comportementaux, qualité des appuis, rigueur des attitudes - position légale de défense, verticalité... - contacts). L'arbitre n'est pas un mal nécessaire, c'est une pièce maîtresse du système, pas un empêcheur de tourner en rond, un rouage du mécanisme, un partenaire du jeu et de sa mise en place. Peu importe, ou presque, par rapport aux spectateurs, mais entre entraîneurs, arbitres et joueurs, ce doit être la complémentarité qui prévaut et non pas l'adversité. Si l'arbitre est indispensable au jeu, ce n'est pas seulement parce que sans lui les joueurs se « battraient ou seraient malhonnêtes ». Réfléchissons à cette collaboration et participons à un basket meilleur. Quelques cas, quelques axes de réflexion : Un mini poussin qui répond à l'attente de son entraîneur de gêner le porteur de balle, le tireur, et qui, dans sa réponse touche légèrement le coude sans même s'en rendre compte, doit-il être sanctionné ? Est-ce cohérent avec l'ambition pédagogique du moment qui consiste à vouloir qu'il conteste le porteur de balle ? Le senior qui fait la même chose, souvent, l'aura fait intentionnellement et en sera pratiquement toujours conscient. Même code de jeu, même décision ? Un mini poussin qui fait 3 pas pour s'arrêter alors qu'il reçoit le ballon en course doit-il être sanctionné ou pas ? Et si non pourquoi siffler à 4 ou 5 ? Est-ce important de siffler violation le ballon hors jeu si le joueur porteur de balle marche sur la ligne de touche et à partir de quand. Siffler une obstruction à un minime qui vient faire une prise à deux et qui bouge encore un peu, alors qu'il en est juste à la phase de reconnaissance des situations de jeu et des zones où il doit chercher à le faire, cohérent ? Que dira son entraîneur ? Un cadet qui conteste, qui discute les décisions arbitrales : raisonnable ? Intolérable ? Siffler des marcher à répétition dans un match de débutants : est-ce rendre service à la pédagogie, au jeu et aux joueurs ? Un minime qui cherche le ballon dans les duels en défense, à sanctionner ou à encourager ? Pour chaque point du code de jeu, on pourrait se demander « quand exiger son respect » dans toutes les étapes de la formation ? Imaginez par ailleurs l'arbitre qui passe d'un match de « poussins » à un match « cadets » puis à un match « benjamins ». 

Voir et intervenir, voir et ne pas intervenir, faire le tri mais pas toujours le même, un vrai défi 
Imaginez un arbitre débutant ; il apprend à reconnaître des situations, à sélectionner les priorités de son observation, à penser à siffler quand il a vu, à faire sa gestuelle, à se positionner... il faut bien qu'il apprenne ! Combien d'arbitres n'aiment que pratiquer à leur « niveau », snobisme ? Sectarisme ? Facilité ? Motivation ? Vous l'avez bien compris, arbitrer c'est complexe, arbitrer c'est important, arbitrer c'est passionnant et comme tout ce qui est intéressant, parfois frustrant, parfois valorisant. L'ambition d'être parfait, oui, mais malheureusement, ce n'est qu'un idéal, un but certes, ni un devoir, encore moins une obligation. C'est une catégorie d'infractions à la règle qui sanctionne des contacts illégaux pour les fautes personnelles, des comportements illégaux pour les fautes techniques, des contacts rudes ou sans volonté de jouer le ballon pour les fautes antisportives, des éléments de grande gravité avec ou sans contact pour les fautes disqualifiantes
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Nicolas Fougeray et Chaer Ali

Exceptée la défaite des féminines à domicile face à Digne (elles sont désormais 3èmes du Prénationale), un loto réussi (ce qui est excellent pour les finances du club) et une ultime victoire des garçons en Pré-nationale ont donné le sourire aux deux présidents Jean-Michel Cubilier et Jean-Marie Bonnaure. Leur objectif affiché en début d'exercice de jouer la montée chez les garçons est plus que jamais d'actualité avec cette dernière victoire pour la gloire obtenue samedi face à un Smuc très diminué (110-66).

Un bon entraînement grandeur nature
«Bon, les Marseillais sont venus avec seulement 5 garçons présents à l'aller et des juniors, relativise le coach Christophe Démaret. Ils n'avaient pas d'autre prétention que de résister le plus longtemps possible. On a ainsi creusé tranquillement l'écart au fur et à mesure, en marquant quand même 61 points lors de la première période.» C'était d'ailleurs l'un des gros points positifs de la soirée: le Sapela a pu répéter ses gammes offensives.
«On voulait se servir de ce match comme d'un entraînement grandeur nature, en travaillant des deux côtés du terrain. Je suis content de ce que l'on a fait dans leur camp, en développant notre adresse extérieure, en attaquant bien leur zone, en étant bons en contre-attaques. Comme je suis toujours insatisfait, j'ai déploré quelques absences en défense.» Pas bien grave. «Je ne peux en vouloir à mes joueurs d'expérience de ne pas être à 100% dans un match facile.» D'autres auront emmagasiné de la confiance à l'image de Jean-Christophe Démaret et ses 21 points. Place le 9 février à la 2ème phase où le Sapela devra arracher la 1ère place pour monter. Il devrait débuter face à Tarascon. Pour meubler, l'équipe jouera un match amical le 1 er février contre Avignon-Le Pontet (Excellence).
Le match était arbitré par Chaer Ali et une vielle connaissance, licencié voici 2 ans au SAPELA, Nicolas Fougeray, 15 ans !!! Félicitation aux deux referees qui ont bien tenu le match.
Alexandre VALERA (Le Régional)

 Les autres équipes Séniors
Dans le même week end (outre la défaite des Prenat filles, la première en 9 matches), notons la victoire des séniors garçons Pré excellence région qui ont explosésles Marseillais de l'USPEG (94-64). Pour eux aussi place aux play off avec seulement deux petites défaites face à Aubagne pour 12 victoires. Dans la deuxième phase les adversaires sont Manosque, Gardanne, Nyons et Orange. Le premier match, selon les prédictions de Coach Chris opposera la team de Coach Soumane au troisième de la poule B, Nyons. A priori, outre que le SAPELA vise le titre, une des trois première place doit être suffisant pour l'accession en excellence région.
L'équipe d'Excellence Département de Coach Jeff n'a pas pu jouée contre Trevarese faute de salle.  Match reporté à une date ultérieure.
Quand au Séniors Filles Département, elles rencontraient Trevarese à Lançon. Défaite 47-54.  Elles sont cinquième de leur championnat avec 3 victoires et 4 défaites. Pas mal pour un groupe composé de joueuses confirmées et de jeunes en devenir.  

Le loto de Pélissanne
Ce dimanche 20 janvier avait lieu le loto de Pélissanne, le premier de nôtre triptyque  avec Lançon le dimanche 17 février et Salon le dimanche 17 mars. Malgré un temps incertain, un nombreux public s'est présenté à la salle Malacrida ( environ 400 personnes). Jean Roger nôtre trésorier et responsable de la Commission Animation avait concocté des parties de choix. Nos licenciés avaient aussi répondus présents. Le Bureau avait mis en place un challenge pour l'équipe la plus représentée, et les poussins 1 de Coach Christian se sont retrouvés à égalité avec les minimes filles de Coach Claudia. Les deux équipes remportent  l'inscription à 1 tournoi au choix (en plus de celui offert par le club).  Un aprés midi réussi ou les crêpes de notre Patou ont remportées un succés légitime. La preuve, tout le monde n'a pu être servi. A l'entracte les joueurs de Coach Soumane ont été présenté après leur éclatante victoire face à l'USPEG.
Enfin pour terminer, un grand merci à Christophe, Manu, Patou, Rodrigue, Anne-Virginie, Loïc, Sandrine, Marc, Dominique, Fabulous Fab, Thomas, Fred, Claudia, Jean Roger et toutes les personnes qui se sont dévouées pour la réussite de cette belle manifestation.  

Les photos du week end a voir sur Team Sapela
Loto de Pélissanne
Entrainement Ecole de Basket Pélissanne
Entrainement Ecole de Basket Saint Côme
Pré Nat Garçons: SAPELA-SMUC

Les minimes filles du SAPELA

Le SAPELA a classé ses deux équipes séniors région pour les play offs. L'occasion de se pencher sur le parcours du club.
 A l'aube de disputer la deuxième phase de championnat pour toutes les équipes masculines région de Provence Alpes Côte d'Azur, nous nous sommes intéressés au club du SAPELA qui classe 2 équipes seniors (Pré-Nationale et Pré-Excellence) en playoff cette saison. Un bel exploit pour les formateurs, entraîneurs et joueurs du club sapeliste. Pour les bonnes mémoires, Salon était l'un des lieux phares du basket en Provence, il y a encore quelques années de cela. Et pour cause, en 2003, un an après s'être associé avec Lançon, l'ex Salon Basket Club, devenu Salon-Lançon Basket 13, est champion de France de N2 et obtient sa montée en Nationale 1. En 2006, le club s'agrandit encore grâce à son entente avec la ville de Pelissanne, pour prendre le nom de SAPELA. Malheureusement, après trois années passées en NM1, l'équipe chute en Nationale 2 en 2007-2008, y reste durant deux saisons et dégringole par la suite en N3 en 2009-2010, puis en Pré-Nationale depuis trois ans.

Salon prêt à renouer avec son passé
Mais cet exercice 2012-2013 pourrait bien être l'année du renouveau du basket salonnais. Avec l'appui de joueurs, entraîneurs et d'un encadrement de grande qualité, SAPELA voit deux de ses équipes seniors pratiquement surclasser les championnats Pré-Excellence et Pré-National cette saison. Avec des bilans respectifs de 12 victoires-2 défaites et 13 victoires-1 défaite, les deux formations ont dominé le basket région et s'apprêtent à disputer les playoffs, comme nous l'explique Jean-Marie Bonnaure, co-président du club : « Nous sommes en place pour le 2ème tour. On ne le connaît pas encore, car ça vient de se terminer. On va en savoir plus dans la semaine. Les 2 équipes ont fait une excellente saison. » Ce qui donne de grandes et belles ambitions à la direction. « L'objectif pour la Pré Nat, c'est de finir 1er et champion, car il n'y a que le champion qui monte en N3 et c'est notre objectif principal », clame le co-président. « Sapela c'est du championnat de France, on se doit d'y être, en jeune comme en senior. Pour la Pré-excellence, le but  est plus d'essayer de remonter en excellence région. Si on peut décrocher le titre évidemment, mais le plus important c'est la montée. »

« Former des joueurs »
Dans les esprits des deux présidents, Jean-Michel Cubilier et Jean-Marie Bonnaure, et de ceux de la direction, ces deux objectifs vont de pair. En effet, si tout se déroule bien, que les deux équipes se montrent à la hauteur de leur bilan à mi-saison et qu'elles obtiennent leur montée, l'équipe 2 pourra alors «former des joueurs pour servir de vivier à la N3 ». Un projet de fond sur les équipes seniors masculines qui pourrait permettre au SAPELA d'être à nouveau l'une des places fortes du basket en PACA.
Au-delà des masculins, ce sont également les seniors féminines du club qui poussent pour redorer le blason du club. Actuellement en Pré-Nationale, le SAPELA est classé 2ème de son championnat à mi-parcours (9 victoires-5 défaites) et peut également espérer un siège en N3. « On aimerait aussi avoir un groupe féminin en Nationale 3, même si ça ne sera pas simple. Globalement, il y a une très forte poussée des équipes seniors au SAPELA », conclut Jean-Marie Bonnaure.

PHILIPPE JACQUES (La Marseillaise)
Ce weekend se jouaient les toutes dernières rencontres de la saison régulière du basket masculin régional.
Playoff ? Playdown ? Qui joue quoi, nous faisons le point. Côté pré-excellence, Aubagne et SAPELA ont dominé leur poule et font office de favoris pour l'accession en Excellence. A la bataille, les provençaux retrouveront Manosque, Gardanne, Nyons et Orange. Plusieurs équipes des Bouches du Rhône devront se battre pour ne pas redescendre en départemental. Ainsi, le BO Puechen (de Magali Lacroix), Vitrolles, Venelles, l'USPEG, La Ciotat et Rousset seront accompagnés par Montfavet et Sorgues en playdown. Rien n'est encore joué.
En excellence, le SMUC et Avignon-Pontet ont réalisé une très belle saison. Mais Pernes les Fontaines et Les Angles, tous juste promus de pré-excellence, s'affirment en sérieux concurrents. Idem pour les Golgoths, l'AS Rognac et les Marseillais du Racing St Joseph, également en lice pour les playoffs. Pour ne pas redescendre, Pertuis, l'ASPTT Marseille, Cabriès-Calas, le BC Tarasconnais, Ste Marguerite et Carpentras, devront effectuer des playdown très sérieux pour éviter la désillusion de la descente. Pertuis et Tarascon ont peu d'espoir...
Enfin, en pré-nat', SAPELA (13 victoires-1 défaite), l'US Tramways (12-2), l'US Entraigues (11-3) et Arles (11-3) font office de favoris pour accéder en N3. Fos, Tarascon, Rousset et Aubagne se mêleront à la bataille des playoffs. A contrario, Saint Marcel et Morières semblent bien partis pour descendre. La Basse Vallée de l'Arc, l'USO Rognonaise, le SMUC, Martigues, l'ASPTT Aix et le BC Allaudien devront également tout donner pour rester en Pré-Nationale.

PHILIPPE JACQUES (La Marseillaise)

Engagées elles-aussi en championnat Pré-nationale, les féminines du Sapela ont réussi leur première partie de saison. A mi-parcours, elles sont 2èmes et restent sur 8 victoires d'affilée. Composée en majeure partie de joueuses formées ici, l'équipe coachée par Daniel Dauphin pourrait briguer la montée en N3 dans un an. C 'est vrai, il n'y en a souvent que pour les garçons. Car ces derniers ont toujours été les figures emblématiques du Sapela, de par leur niveau et de l'engouement populaire drainé dans leur sillage. Mais, les féminines du club, moribondes il y a quelques années, sont en train de renaître à l'ambition depuis 3 saisons. Une progression qui ne s'est pas faite sans hauts et bas.
«Lors de mes 2 premières saisons avec elles, nous avons terminé 9èmes puis 7èmes, se maintenant de justesse ou en passant par les barrages», rappelle le coach Daniel Dauphin.  La clé? «Le groupe. On a débuté la 1ère année avec 16 filles. Depuis, on a gardé une ossature de 10-11 filles, toujours les mêmes.» Pour y ajouter deux recrues très locales cette saison, bien qu'étrangères!
«J'ai convaincu Carolina Soonkindt de reprendre alors qu'elle avait arrêté sa carrière. C'est une fille qui a joué au club, qui a son fils ici. Et qui nous apporte son expérience à 38 ans. Elle a été internationale bulgare des moins de 20 ans, participant à des championnats d'Europe et du Monde. Elle a joué en Nationale 1 aussi en France.» La 2ème recrue, Claudia Camus, vient aussi de l'intérieur. «Elle entraîne depuis l'an dernier chez nous mais jouait pour Saint-Rémy. Elle a joué en N3 en Belgique.» Le groupe de 12 joueuses est donc un habile mélange entre expérimentées et jeunes. Pour la plupart des fidèles du club.

«Passionnées par le basket et leur club»
«Je me régale avec ces filles. Elles sont passionnées par le basket et leur club, indique Daniel Dauphin. C'est très important car à notre niveau, elles sont là pour gagner et prendre du plaisir. Les filles sont assidues, sérieuses, elles sont toutes dans le moule. Elles vivent bien ensemble car elles se retrouvent en dehors de la salle. Cette ambiance, c'est notre force et je me dois d'en être le garant.» La stabilité et la bonne entente ne suffisent néanmoins pas à être prétendant au podium. Cette formation affiche certaines certitudes, comme sa grosse défense et la profondeur de son banc. «On fait ainsi souvent la différence dans le dernier quart-temps», selon le coach. Reste à améliorer certains points pour viser plus haut.
«Notamment notre sélection aux shoots et le déroulement des systèmes.» La visée est claire: «finir si possible à cette 2ème place sachant que notre objectif de début de saison était d'être dans les 5 premières. Et à plus long terme, il s'agit de progresser, de confirmer notre niveau pour pouvoir attirer quelques renforts de qualité. Et envisager pourquoi pas la Nationale 3.»
Mais d'abord, il s'agit de poursuivre la route des victoires lors de la 2ème partie de la saison où le Sapela fera figure d'équipe à abattre.
Alexandre Valera (Le Régional)

Trois équipes étaient en compétition. Pour le premier match, Martigues face à l'Union Simiane Bouc Bel Air (USBB), signait la victoire. 
Puis les 3 équipes, les arbitres, les OTM et les dirigeants se retrouvaient au siège pour le repas confectionné encore une fois par Jean Roger. L'après midi, le SAPELA entrait en jeu face à Martigues. Après 40 minutes rondement menées, les filles de Coach Dan remportait une probante victoire (72-50). Le temps de souffler un petit peu et s'était l'USBB qui se présentait sur le parquet pour offrir une belle résistance. Mais, malgré la fatigue de ces deux matchs rapprochés, la victoire n'échappait pas à nos joueuses (68-46). Le SAPELA inscrivait son nom sur le trophée et succédait  à Golfe Juan. Pour couronner cette belle journée, la MVP de ce Challenge était comme un symbole, la fille qui a tout connu au SAPELA et qui a traversé les générations, Mélanie Libersat. 
Pour cloturer, un grand merci à tous ceux qui se sont investis dans cette journée: les arbitres Alexandra Véniat, Christophe Démaret, Taoufik D'Jji et Samir Souli, les OTM Marylin, Fabienne, Sandrine, les personnes de la buvette, Monsieur et madame Michel et Nadège Magnac, Daniel Dauphin pour la mise sur pied de ce Challenge, l'ami Jean Roger pour sa restauration de qualité et bien sur à la famille Bourchet, Michelle Céline et Gilbert pour leur présence et leur amitié.

Les photos du Challenge:
SAPELA / Martigues
SAPELA / USBB

Gilbert, Céline, Mélanie MVP du Challenge, Michelle et Klara	La SAPELA Team, vainqueur du Challenge Magali Bourchet